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Kidlin

La loi de Kidlin est une règle simple mais puissante :
« Si vous écrivez clairement le problème, la question est à moitié résolue. »

Autrement dit, écrire un problème, c’est déjà commencer à le résoudre.

« Si tu ne peux pas écrire clairement ton problème, c’est que tu ne l’as pas bien compris. »

En gros, ça veut dire quoi ?

  • Un problème flou reste un problème. Tant qu’on ne peut pas le formuler clairement, il est très difficile de le résoudre.
  • Mettre par écrit une difficulté permet de :
  • Clarifier sa pensée et structurer ce qui semble confus.
  • Identifier les vraies causes, au lieu de tourner en rond avec émotions et suppositions.
  • Prendre du recul, sortir de la panique et voir la situation plus objectivement.

Ce principe rejoint les mots de Nicolas Boileau (1674) :

« Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement,
Et les mots pour le dire arrivent aisément. »

Autrement dit, ce qui est bien compris s’exprime naturellement.

Pourquoi c’est inspirant ?

Parce que ça nous rappelle que :
Un problème bien défini est un problème à moitié résolu.
Écrire, c’est organiser ses idées – Ce qui semble énorme dans la tête devient souvent plus simple sur papier.
Le chaos mental peut être dompté – Noter ses pensées permet de réduire le stress et de trouver des solutions concrètes.

Origine de la loi de Kidlin

La « loi de Kidlin » tire son nom d’un personnage fictif inventé par l’auteur australien James Clavell, également scénariste du film La Grande Évasion. Bien qu’elle ne soit pas issue d’un cadre scientifique formel, cette « loi » est largement citée pour souligner le pouvoir de la clarté mentale par l’écriture.

En bref : si tu veux régler un problème, commence par l’écrire clairement. ✍️🎯🚀